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NOTES

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(*) La prononciation ancienne etait Ko-no-maru, et c’est ainsi que Sei Shonagon écrit ce nom dans son Makura no soshi ; nous nous conformons ici au texte du nô qui donne Ki-no-maru.

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(*) Il a ete fait allusion a cette vieille legende chinoise a propos du no de Sotoba-Komaclu. Cf. ci-dessus, p. 192, n. 7 de la p. 176.

(‘) Expression tiree d’une poesie anonyme du livre XI du 1 xeumm : {

Aware cho La compassion ! Koto dani nakuba, Si ce mot au moins n’existait pas, Nani wo ka wa Où donc Koi no midare no Aux troubles de l’amour Tsukane-o ni sen ? Trouverais-je un frein ?

(•) Si la distance des rangs ne crealt pas entre celle que i’aime et moi d’aussi lnfranchlssables obstacles.

(•) La longevité de la cigogne est proverbiale. La cigogne crlant dans la nuit est assez souvent un symbole d’amour maternel et paternel; mais ici les « nuits obscures » ne sont sans doute qu’une epithete poetique de sens general, a moins qu’0n ne veuille y trouver insinue le sens : a un age ou il ne convient d’aimer que ses enfants.

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(*) Nami se dit aussi bien des « vagues » que des « rides », et c‘est le second sens, celui des « rides » symbolisant la vieillesse, qu’amène la suite logique de la phrase. Mais l‘auteur y substitue a