je suis dans la paix, car nul ozil humain ne me voit. Les seuls bruits qui parfois Viennent iusqu’§ moi n’enveloppent aucun sentiment: C’est la hache taillant quelque pauvre fagot (bis), Ou le vent dans les rameaux, ou le cri des singes; Ou bien, si ce ne sont ces voix, E Des lianes et des rotins ’ C’est le froissement. Rares sont les gens qui passent an Au sentier de Yen-yuan l’herbe |]usqu’ici. S’est épaissie »; comme elles se prcsscnt mes pensées Telle 1: ia pluie sur la porte de Yuan-hien » (‘), [qui, Mouillent ma manche de pleurs, hélas (bis) !
SHITE.
Holé, Dainagon no tsubone! je vais aller sur la montagne qui est lh, derriére, pour y cueillir de la badiane (‘).
DAINAGON NO Tsunous.
je vous accompagnerai; je couperai du bois et cueille· rai des fougéres pour préparer votre repas.
SHITE.
La comparaison est irrévérencieuse sans doute ; pour- [tant Le prince Siddhârta, lorsqu’il eut quitté la capitale du roi [Quddhodana, S’épuisa in parcourir ies sentiers abrupts du mont Dan- [taloka, Y cueillant l’herbe, y puisant l’eau, y ramassant le bois,
CHOEUR.
S’y livrant aux austérités de toute sorte, Et daignant y servir les ermites;