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I N im cruo no I

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L (*) Citation du Nirvdgm sailra : · Pillusion, c’est Pillumination; la vie et mort, c’est le nirvana. • (’) Chen-sieou, disciple de Hong-jen, cinquiéme patriarche du Dhyana en Chine, composa un iour la stance suivante : Le corps est [comme] l’arbre de la bodhi, Le coaur est comme un miroir brillant pose sur un sup- Soyez attentifs A l’essuyer frequemment, [port. Et ne laissez pas s’elever la poussiere. Mais son condisclple I·louei—neng, refutant ce grossier rea- llsme, riposta : Uillumination dans son essence n’est pas un arbre; N Sur le support il n‘y a point de miroir brillant. I Au fond rien n’exlste reellement; D’ou donc s’eleverait la poussiere ? La citation porte sur les trois premlers vers de cette seconde [ stance, le troisieme formant le commencement de la repllquc I du choeur. _ (') Dans toutes les distinctions qu’on enseigne au vulgaire. — I1 a ece necessaire ici d’intervertir l’ordre des vers dans la traductlon. N Page 188 : N (•) Il y a ici un jeu de mots sur sotoba, · stnpa •, qui peut sc N lire aussi solo wa, · hors de IA •. Le sens est celui-ci : au paradis, il serait tres mal de s’asseoir sur le corps du Buddha. mais hors de la et lorsque ce corps est simplement represente par un stupa, cela ne saurait tirer A consequence. N (’) Raillerie de Komachi A Padresse des moines. La phraS¢ N est en effet susceptible d'un double sens : leur doctrine est ~ dlfdcile A comprendre. ou, il est difncile de leur hire com- N prendre la doctrine. I Page 184 : N (*) Un des luxes de cette epoque consistait A porter un grand nombre de robes tres fines, comme le montrent d’anciennes peintures ou la femme semble ensevelie dans leurs longs plis multicolores, ceux—ci · debordant · en eiet le seull alors qu‘elle est assise A Pinterieur de l'appartement. I (‘) Tcl est du moins le sens que l’on peut trouver A ces dev! N I I I · I I