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SOTOBA-KOMACHI im cnoaun. Relevant mon bakama blanc, _ Ployant en coup de vent mon haut chapeau droit, Reietant sur ma téte les manches de mon habit de Me cachant in tous les regards sur le chemin, [chasse('), je vais sous la clarté de la lune, je vais a travers l’obscu- Par les nuits de pluie, par les nuits de vent, [rité, Sous Yégouttement des feuilles, dans la neige épaisse, si-111*2. Sous lcs gouttes d’eau tombant du bord des toits, vite, [Vue (t): cnczun. jc vals, je reviens; revenu, j'y retourne. Une nuit, deux nuits, trois nuits, quatre nuits, Sept nuits, huit nuits, neuf nuits, Dix nuits (‘); en la nuit méme de la féte des récoltes, Sans la voir, j’ai fait ce chemin. Aussi fidélement que le Marque les heures, chaque matin, [coq ]'ai fait mes marques au bord de l’escabeau. . Durant cent nuits je devais venir, Et déia la quatre-vingt-dix-neuviéme était passée. sr-nm;. Ah! quelle souffrance! mes yeux s’obscurcissent (‘)! cnoaun. Qllelle douleur en ma poitrine l Et désespéré, Sans pouvoir atteindre la supréme nuit, il est mort. · Du général de Fukakusa ESt-ce done la colére jalouse qui s’empare de moi ('), Et me iette en une telle folie P Puisqu'il en est ainsi, pour Yexistence future