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soronn-Komacnr rw cmzux. La coupe apportant l’ivresse snrre. Mettait sur ma manche la tranquille image de la lune au [ciel étoilél (') · cnczun. Cet 'état si brillant _ Quand donc s’est-il changé a ce point P Ma téte s’est convene d’armoise blanche de givre (’); Les deux bandeaux gracieux de mes cheveux Se sont amincis sur ma chair ; leur jais s’est mélangé. Mes [sourcils, ces] deux fourmis arquées ('), Ont perdu leur teinte de montagnes lointaines. ‘ snrre. as lls ont cent ans, cr-iozun. l ll s’en faut d’un an, mes cheveux cré- [pelés comme des algues » (‘) Pendant [le long de mes joues]. Voila ce que sont mes [pensées ; et dans la clarté de l’aube, Ah! j’ail1onte de mon propre aspect! Dans le sac suspendu a ton cou Qg’as·tu donc mis? ‘ SHITE. Bien que la vie pour le jour présent méme ne soit pas Pour apaiser ma faim demain, [assurée, ’ C’est une galette séche de millet et de féves Qne j’ai mise et conserve en ce sac.