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nk cruo NO wma et wAm-zum:. Ah! qu'elle est digne de pitié! Komachi Autrefois fut une femme répandant la ioie. Sa beauté brillait comme une ileur, Le croissant noir de ses sourcils avait des reflets bleus, Et le fard [de ses joues] ne perdait jamais sa blancheur. cnozun. R Ses robes de tin damas superposées nombreuses I Débordaient les pavillons de bois précieux (‘). I sums. Les parures faisaient mon seul souci; caozun. I Hors de ma portée, elles excitaient mes regrets, Sous ma main, elles m’accablaient d’inquiétudes ('). I I · surrs. I Les bandeaux de ma chevelure se courbaient en vagues [bleuissantes: cr-nozun. I Tels des nuages aux teintes vives entourant un sommet [verdoyant. smrz. f Parée de Yélégance de mes robes, , I cuozun. I je ressemblais A la ileur de lotus flottant sur les vagues [au matin. [ s¤—u·rs. I je composais des chants, j’écrivais des poésies; I I ‘ I I I . I I