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dire un siècle environ avant l’invention du revolver. (Cf. Le Petit Journal, 14 mars 1874 ; — et Le Voleur, 27 mars 1874, p. 205.)

Une autre romancière, Adèle Esquiros (…-1886), a, elle, sans difficulté aucune, trouvé la fusion du diamant : « Mme de Saint-Mégrin (après un incendie) pleurait ses dentelles brûlées et ses diamants fondus. » {Un Vieux Bas-Bleu, chap. vi, p. 9 ; Librairie centrale des Publications illustrées, 1856.)

Claude Vignon (Mme Constant, puis Rouvier : 1833-1888) nous offre cette perle dans son roman Une Parisienne (cité dans le Grand Almanach ilhtstré du Petit Journal, 1884, p. 56) : « Parfois, quand U s’agissait de prendre le bras d’un beau capitaine de trente ans pour aller au spectacle ou au bois, elle y mettait un œil de poudre. »

L’auteur de Just Lherminier, Mme Emile Lévy, qui signe Paria Korigan (1835-….), nous montre une jeune fille « dédaignant les deux beaux couples anglais de braques de son père, un épagneul de pure race ». (Dans le journal Le National, 20 juillet 1884.) »

« Il écoutait, les yeux dilatés pour mieux la voir, les lèvres entr’ouvertes potir mieux l’entendre, » écrit Henri Gréville (Mme Alice Durand, née Fleury : 1842-1902), dans son roman Sonia (p. 74 ; Pion, 1877).

Dans Suzanne Normis, Le Roman d’un père (chap. 36 ; Pion, 1877), la même romancière nous décrit une cible dont le blanc est tracé avec du noir, avec du cirage : « … Quand l’un de nous mettait dans le blanc que nous avions fait avec du cirage… ». La phrase, toute claire qu’elle est, ne laisse pas d’être drôlette.