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« Ève, ma chère amie, » disait-il…
Mais, adieu les rêves. Voici le matin et le réveil.
« Sennka ! » s’écria-t-il de nouveau sans réflexion. Mais le souvenir de la réalité lui revint aussitôt, et, pendant un instant, il baissa la tête.
« À quoi pourrais-je cependant m’occuper ? se demanda-t-il. Si le diable voulait seulement m’envoyer quelque loup-garou ! Cela vaudrait mieux que rien. »
À peine eut-il prononcé ces paroles qu’arriva l’ispravnik en chef.
Le stupide pomèchtchik éprouva une joie indicible en le voyant. Il courut à l’armoire et y prit deux nonnettes en se disant :
« Au moins, ce brave homme-là ne fera pas le difficile.
— Veuillez m’expliquer, Monsieur le pomèchtchik, dit l’ispravnik, par quel mi-