Bon pour cela ; quelle eſt donc cette poſture ? Je vais vous en dire une qui aura du rapport à votre inclination ; on l’appelle, le cheval d’Hector. Couchez-vous tout de votre long, Medor, & tenez votre pique la plus droite que vous pourrez. Octavie, tourne-lui le dos, comme ſi tu voulois lui montrer tes feſſes ; & t’aſſéyant ſur ſon ventre, fais entrer ce lingot d’amour dans le cabinet de tes richeſſes : prens-le à pleine main ; bon, voilà qui eſt bien.
Aide-moi, mon cher Medor ; hen, hen, hen, aide, je commence déja à ſentir par tout le corps un plaiſir incroyable.
Je vous aide de toutes mes forces ; & vous, aidez-moi à me ſoulager, par le remuement de vos feſſes.
Je fais tant que je puis, hen, hen hen ; tant que je puis.
O charmants ſoupirs ; ô doux gémiſſements !