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Liste des Illustrations par Ozias Leduc
(ne fait pas partie de l’ouvrage original)


Page 12 a. Les autres s’étaient mis à genoux sur l’herbe tendre, sur les planches du perron sur la terre grise aussi.

Page 22 a. Oh ! qu’il lui paraissait agrandi, immense, le pauvre foyer.

Page 40 a. Les soirs que Jacques venait après le souper fini, qu’il l’entendait cogner aux planches du perron ses grosses bottes pour en secouer le grésil et la neige…

Page 45 a. … Toujours faisant son grand geste de semeur dans la limpidité cristalline du ciel.

Page 54 a. Mais elle, ceci l’amusait ce grand garçon si brun qui paraissait tout intimidé en sa présence et elle continuait toujours à lui parler…

Page 70 a. Du train qu’ils y allaient… pan — pan… pan — pan ils auraient bientôt fini, nos deux gars…

Page 82 a. Dès ce moment… ce fut un entrain général. La fête étincelait, pétillait…

Page 100 a. … Il trouva aux environs un petit coin désert où il s’assit…

Page 104 a. … En passant, après son boniment : « Me faire la charité, s’il-vous-plaît, » il se prenait à lutiner les jeunes filles, les jeunes garçons…

Page 112 Mais elle, ceci l’amusait ce grand garçon si brun qui paraissait tout intimidé en sa présence et elle continuait toujours à lui parler…

Page 138 a. …Assis près d’une table, devant la mère Julienne qui écoutait en tricotant, Claude lisait…

Page 158 a. …Ils étaient venus de loin, à pied pour la plupart, pour réciter leur chapelet et entendre les cantiques à Marie…

Page 180 a. …Elle ne s’abusait point, il est vrai. Ses mains et ses bras décharnés, son mouchoir tacheté de sang, la convainquaient trop…

Page 224 a. …Alors, auprès, tout de suite, ce fut un cri égorgé de louve…

Page 228 a.…Ils s’en vont par un étroit chemin battu dans les herbes hautes, s’agenouiller devant deux croix de bois semblables…