Page:Choquette - Claude Paysan, 1899.djvu/228

Cette page a été validée par deux contributeurs.
217
Claude Paysan
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

ments et des balancements terribles, il glissait sur les flots brumeux qui l’entraînaient.

… Déjà Claude n’était plus qu’une indécise silhouette fuyante se profilant sur les teintes grises des eaux… Dong… quelque chose comme un fantôme assis sur une espèce de radeau de rêve.

On ne le distinguait plus…

… Il se perdait dans les ténèbres…

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Loin… loin, on entendait encore des clapotements légers brusquement éteints dans le bruit des bourrasques monstrueuses… le cri rauque des tolets.

On ne les entendait plus… Dong… Plus rien…

Alors p’tit Louis s’essuya les yeux et s’en retourna dans l’ombre…

Ding — dong… ding… dong… ding…. dong… ding… dong…

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .