C’est M. le comte Émile de la Roncière qui, dans sa lettre du mois de décembre 1864, au Ministre de la marine (pièce 2), disait :
« Il est facile de voir qu’ici la passion, je dirai presque celle du lucre, a étouffé les sentiments généreux dont on déplore l’absence. »
Nous pourrions continuer et ajouter encore des pages pleines de faits intéressants, mais ce que nous venons de dire suffit, au moins pour le moment présent.
Si cependant, plus tard, nous étions obligé de traiter encore le même sujet, nous serons « plein de discours ». Ce jour-là, nous en sommes sûrs, tous nos lecteurs seront de cœur et de conviction avec nous, lorsque modifiant un peu un passage de la lettre écrite au Ministre, en juillet 1866, par M. de la Roncière (5e pièce), nous dirons :
« Pour nous il est un point sur lequel notre conviction ne changera jamais. » M. le comte Émile de la Roncière avant tout est un…… Le pouvoir dont il disposait et qu’il a honteusement déconsidéré, n’a été entre ses mains qu’un moyen de s’enrichir et de pratiquer l’iniquité.
Papeete, août 1870.