Page:Choix de discours de réception à l'Académie françoise, tome I, 1808.djvu/16

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Lorsque M. le Ghaücëlier motirot (a)| Louis XIV se dédora protecteur 4e l’Aea* démie fraiiçoise, et lui assigna Te Louvtte pour ; tenir «es assemblées X3)* Déjà le R* fiveit ordonné f«< duH* Mutes, les occa* sions quily uureit de Je faranguer* TAca*déAFe y seroit reçue avec le* mêmes hou* ’- «V••’ ;j : , ! ’ v •• • -

(i) En i658, la Reine Christine se rendit à l’Académie un JàCfr ’d*â&sëffltàéè brdinafre ; tandis que l’atbë de la Chambré , I* tompK !fréAtàitvlM ÀeàdéAîtfeas restèrent &&bout, excepté M, Séguier ; on lut d&n$ 1» çoups de la séance Une chose assea plaisante, et dont la Reine se mit à rire la première, ce fut que le Seorétaire, voulant lui montrer un essai du Dictionnaire, ouvrit par hastcd te ÿovtt^feuiïk an mot jeu 9 pi %e trouva cette phrase, jeux de Prince ç qui ne plaisent cfu’à peux les, font, pour signifier de» jeux qui Vont b fâcher op à btesser quelqu’un, . La réinh Chris tinÎPctoit Venue en France deux ans anpara-, ’ vint SI. Patru la harangua ap non» 3e FA^^mie* elle hvoit euŸojë son portrait. . ,. , (a) 28 janvier 167 a.• i

^3) Çet événement fut consacré par usé îAèàajàl*.