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À L’ACADÉMIE FRANÇOISE.

Dérobez néanmoins, s’il se peut, quelques momens à cette glorieuse occupation, et venez éclairer quelquefois de vos avis et de vos lumières, une compagnie qui vous reçoit avec toute l’estime que l’on doit à la beauté de votre esprit, et avec toute l’amitié que l’on ne peut refuser à la douceur de vos mœurs.