Page:Choix de discours de réception à l'Académie françoise, tome I, 1808.djvu/13

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ehef-dheuvres dramatiques, et ©escortes par seè ouvragés de philosophie, auvroientle Siècle ’des Beaux-Arts et celui des Sciences ( i ). -H parOÎt que l’Académie eut d’abord l’inténtion dé travailler en commun à différend Ouvrages. Elle Ordonna que Ohàcutt de ses membres feroit Un discours sur telle matière, et de- telle longueur qii’il lui plaifoît .( 3). Elle devoit s’occuper aussi d’une grammaire, d’une rhétorique et d’une poétique. Mais tous ces objets furent abandonnés, et on ne connoit aujourd’hui de «es premières occupations littéraires, que ses sentimens sur té Cid (3), et son Diction-, ttaice , dont eHehtdès le principe son travail le plus sérieux ; corrigé > enrichi à chaque période des progrès des lumières > ce grand (i) flfédée parut ên i63fi,lfe Cidéh 16^7* Descartes dotina ën son discourt sur la m&btfcle, 4, la tété desés Essaie de philosophie* (a) H n’ÿ eût qüe vingt de ces disCoufs : le premier fut. péoaonfeé par M* du Ghâtelet, sur Véloquence françoise. M. Godeau en prononça un Contre téloqüence3 M> de Gombatid sur le te ne mis quoi.

(S) Elle fit aussi un examen des ittnces de Malherbe, sur le Voyage du Aoi en Limosin,