titudes géographiques que les officiers pouvaient utiliser. Ils lui firent faire des travaux topographiques, cartographiques, etc. Ainsi la carte de la colonie a été dressée par l’ancien employé des Archives de la Commune.
Ancien transporté de décembre, ancien président de la cour martiale sous la Commune, il est aujourd’hui employé à Bercy, chez un courtier en vins.
Goix est un des membres les moins connus et les plus intelligents du parti blanquiste.
Seulement, c’est plus qu’un ardent. C’est un féroce.
On se souvient que, rue Haxo, un homme, resté inconnu, donnait des ordres à ceux qui allaient fusiller les otages. Cet inconnu était Goix.
Après la fusillade, il vint, du bout de sa botte, compter un à un les cadavres qui devaient être au nombre de quarante-huit.
— Allons, c’est bien, fit-il, il y en a un de plus.
Toujours voué au rouge, Goix est resté l’ami de