(que les enfans ne constituent pas un châtiment d’amour) regarde le cas où on n’a pas eu de fils du tout et l’autre sentence a rapport au cas d’un père qui a eu des enfans, mais qui sont morts.
Lorsque R. Hija, fils d’Abba, était malade, R. Johanan monta chez lui et lui dit : te sont-ils chers les châtimens (par lesquels tu es affligé). Il lui répondit : ni les châtimens, ni leur récompense. L’autre reprit : donne-moi ta main, le malade la lui donna et il le fit lever sur pieds (sain et sauf). Lorsque R. Johanan était infirme à son tour R. Hanina monta chez lui, et lui dit : te sont-ils chers les châtimens (qui t’affligent) ? Il lui répondit : ni les châtimens, ni leur récompense ; alors l’autre reprit : donne-moi ta main ; le malade la lui donna et il le fit lever sur ses pieds sain et sauf. Mais comment cela ? R. Johanan aurait dû plutôt se guérir lui-même (car il fesait des miracles). Rép. : (cela est arrivé) selon le proverbe : le prisonnier ne se délivre pas lui-même de sa prison. Lorsque R. Élie-