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crépuscule de R. Jose qui le définit ainsi : Le crépuscule est comme un coup d’œil : l’un entre et l’autre sort et il n’est pas possible de s’y arrêter.

Il y a cette difficulté (à résoudre) que R. Meïr est (dans les Baraïthes déjà rapportées) contraire à R. Meïr (car une fois, il fixe la lecture du Chema au souper du commun des hommes, aux vêpres du samedi, et une autre fois au bain des prêtres, et ces deux temps ne coïncident pas entr’eux). Deux Tannes (répond l’Halaca) dans le cœur (ou dans la sentence) de R. Meïr. Il y a aussi