circonstance où il y a repos de celle où il y a mouvement (178 et 179).
251.Première circonstance : repos.
On conçoit qu’il peut y avoir repos dans les trois cas suivants :
Premier cas. — Les mains sont appliquées perpendiculairement sur la table ; dès lors sa stabilité dans la position où elle est, se trouve augmentée de cette pression.
Deuxième cas. — Les mains appliquées sur la table cessent de la presser perpendiculairement, il y a donc action latérale. Comme il y a plusieurs mains, si l’action latérale de gauche à droite neutralise la pression latérale de droite à gauche, ou, en d’autres termes, si la résultante des forces est égale à zéro, il ne peut y avoir de mouvement.
Troisième cas. — La résultante des forces latérales n’étant pas égale à zéro est insuffisante pour vaincre l’inertie de la table.
252.Deuxième circonstance : mouvement.
Il y a mouvement de la table toutes les fois :
1°. Que les mains ne pressent pas perpendiculairement la table ;
2°. Que la résultante des forces agissant latéralement n’est pas égale à zéro ;
3°. Que cette résultante est assez énergique pour vaincre l’inertie de la table.
253.Bien des gens qui n’ont jamais cherché à se rendre compte de la manière dont un corps en repos