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tant une sortie de la Convention nationale au milieu des Parisiens en armes levés contre les Girondins fac- tieux. Marat qui s'est précipité sur la trace de ses col- lègues pour les presser de reprendre leurs travaux et voter le décret d'accusation, est appréhendé par deux citoyens. Ce détail est entièrement controuvé.
Gravure en largeur de O^'ySO? sur 0'",i31 de haut.
(Même tujet). Eau-forte, signée Dorgez, sur papier gris-bleu, avant le titre. — Hauteur, 0",597 sur 0™,432.
VERGNIAUX, PÉTHION, BUZOT, BRISSOT, FAD- CHET, MARAT, HÉRAULT DE SCHELLES. Figures expli- catives de la gravure Le 3i May i793. Sujets gravés en bustes» et au bas une ligne de texte sur chaque per- sonnage. Hauteur de la planche 0'",lô6 sur 0'°,185.
LE MALADE. Grav. sur bois,impr. dans le texte du livre intitulé Cliarlotle Corday^ édit. popul.
MARIANNE-CHARLOTTE CORDAY, âgée de 25 ans, poignardant Marat. « Le samedi 13 juillet 1793, l'an II de la République française, Marat, député à la Con- vention nationale, fut assassiné au moment où il était dans son bain. »
In-8 en travers, édité pour le n« 209 des Révolu-- lions de Paris.
ASSASSINAT DE MARAT. Avec ce quatrain :
« Qu*CDtends-jc I à ciel, un poignard homicide Vient de plonger Marat dans la nuit du tombeau! Patriotes pleures, vous n*avex plus de guide.
Et le civisme a perdu son flambeau. »
C. Hocquet, del. et sculp. (Coll. Hennin.)
CHARLOTTE CORDAY. Médaillon. Au-dessous, scène de l'assassinat de Marat. La baignoire où il vient d'être