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sortie de Marat. — I^ grande frayeur de Marat en apercevant Charlotte Corday, etc. — La manière dont J.-J. Rousseau et Voltaire ont fait la conduite à Ma- rat, etc. — La grande dispute de Marat avec J.-J Rous- seau, etc.
De rimpr. de la veuve d'Ant.-Jos. Corsas. — In-8 de 8 pages.
A la différence près de TAvant-propof^, cette publi- cation n'est que la réimpression de Grande dispute an Panthéon entre Marat et Jean-Jacques Rousseau^ dé- crite page 346.
PANi'CYRlQUE DE MARAT, prononcé devant une nombreuse assemblée, le 15 germinal (& avril 1795), dans Tantre qui lui servit d'asile dans les temps diffi- ciles, par le docteur Cannibal, vice-président perpétuel des Jacobins.
A Paris. A. -Cl. Forget, Maret, veuve Dupont et Lebour. — Au III de la République.
De l'impr. de A.-CI. Forget, rue du Four-Honoré, no 487. — In- 8 de 70 pages.
ASSASSINAT DE MARAT, en vaudeville. — A Paris, chez Jean, demeurant chez la veuve Cochin, mar- chande de vin, près la grille de la Morne, et chez tous les marchands de nouveautés. — In-18 de 23 pages.
VIE CRIMINELLE ET PX)LITIQl]E de J.-P. MARAT, se disant l'ami du peuple, adoré, porté en triomphe comme tel, et après sa mort, projeté saint par la jaco- binaille ; ou l'homme aux 200,000 têtes, le vampire le plus remarquable de la République française, suivie d'un recueil exact de ce qui s'est passé à son sujet, sur plusieurs places publiques.
