318 MARAT
Pluviôse, an III (le la démocratie (1795). — De riniprîmerie de TOmbre de Marat.
LA MARATIDB (chanson an timaratiste). — MARAT DÉPANTHÉOiNISÉ, couplets chantés sur le théâtre du Vaudeville le 21 pluviôse (9 février 1795).
De rimpr. de la veuve d*Ant.-Jos. Gorsas, rue Neuve-des-Petits-Champs, n® 741. (Petit in-8 de 4 pages non numérotées.)
LA DÉPANTIIÉONISATION DE MARAT, patron des hommes de sang et des terroristes, fondée sur ses crimes et sur les forfaits des Jacobins, par Henriquez, citoyen de la section du Panthéon français.
A Paris, et se distribue chez Prévost, libraire, rue de la Vîeille-Bouclerie, n" 120. — In-8 de 16 pages.
LE ROBESPIERRISME (poème), suivi du MARA- TISME, par Félix Faulcon. — Poitiers, an IIL
In-8 de 72 pages. — Note extraite de l^es Bobes- pieîTCy monographie bibliographique, par J.-M. Qué- rard, page 42.
OPUSCULE CONTRE LES EXCÈS DE LA RÉVOLU- TION DE FRANCE, depuis son origine jusqu'au 9 ther- midor, époque de notre affranchissement. — Dont : Pour le portrait de Marat (p. 13). — A Charlotte Corday (p. 35). — Sur l'embaumement de la charogne de Marat (p. 35). — Marat installé au Panthéon et Mira- beau lui cédant sa place (p. 36). — Marat dé-Panthéo- nisé (p. 3(5).
S. impr. I. n. d. — In 8 de 5tt pages.
MARAT PLACÉ COMME IL L'A MÉRITÉ, ou Détails de ce qui s'est ])assê au Panthéon avant et après la
