MORT DE MARAT. 297
et indivisible. Suivi d'une ode aux mânes de Marat, par P.-M. Brémont, auteur d*un Projet d'éducation natio-^ nale et de plusieurs poèmes lyriques reçus à l'Académie de musique.
Paris. Clément, 1798. — In-8 de 24 pages.
1794
ÉTRENNES EN MÉMOIRE DE MARAT, LEPELLE- TIER, CHALIER ET BAR\, martyrs de la Révolution (recueil de chansons).
Paris, Laurens jeune. — In-18 de 80 pages. — Voir le Quérard, art. Marat, n» 159.
NOUVEAU CHANSONNIER PATRIOTE, contenant, page 7 à 15 : Éloge de Marat (anonyme), mais de Dorât* Gubiëres. « Cet éloge, qui fait à la fois celui des talents et du civisme de son auteur, fut lu dans toutes les sec- tions de Paris, et fut partout accueilli par les trans*
ports du patriotisme. » (Bxtnit de préface de l'éditeur.) —
Page A5 à A7 : la Mort de Marat (chanson).
Notre exemplaire est incomplet des pages qui suivent la Ihk".
PRÉCIS DE L\ FÊTE à l'honneur des victimes de la Liberté, Peletier, Marat, Chaslier et Beaurepaire, avec les hymnes chantés à ce sujet, présenté par la Com- mission des artistes et arrêté par l'Assemblée générale de la section régénérée de Beaurepaire, pour le 20 ni- vôse, l'an II (9 février 179A) de la République française une et indivisible.
De l'imprimerie de Roblot, rue de la Huchette, n"" 2A. — ,In-8 de 16 pages.
