MORT DE MARAT. U%
laire de rUnité, le nonodi de la première décade du deuxième mois, Tan II de la République française (80 octobre 1793). Signé Meusmof, président par intérim; Thomas^ secrétaire.
Sans impr. — In-8 de là pages.
DISCOURS prononcé aux Champs-Elysées pour l'inauguration des bustes de Lepelletier et Marat, devant les membres nommés par la Convention, le départe- ment, toutes les autorités constituées et les Sociétés populaires pour assister à cette cérémonie; par Fran- çois Legall, sans-culotte bas-breton, le décadi, 10 bru- maire. Tan II de la République (31 octobre 1793).
(Même^ pièce, p. 14) : MARAT AUX FRANÇAIS, ou la Liberté universelle (hymne).
De l'imprimerie de J.-P. Brasseur, rue Saint-Honoré, n* 431. — In-8 de 16 pages.
c( Il y a un an, dit F. Legall, que j'ébauchai quelques strophes sur la Liberté universelle. Je ne les rendis pas publiques parce qu'elles ne me parurent pas dignes de Tôtre. Si elles sont déjà connues, c'est sans mon consentement. Ainsi je me crois en droit de prendre celles que j'ai jugé les meilleures, et de les intercaler dans l'hymne que je mets dans la bouche de Marat. »
Ainsi se trouve expliqué comment M. Paul Lacroix a^ pu être induit en erreur, en attribuant à Marat une pièce anonyme intitulée Marat aux Français, ou la Liberté universelle.
• DISCOURS D'ALEXANDRE ROUSSELIN, prononcé le jour Jie l'inauguration des bustes de Marat et Lepelle- tier, martyrs de la liberté. Faite par la section de rUnité, décadi brumaire, l'an II de la République fran-
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