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France, qui nous a oubliés, quoique nous l’aimions toujours, ce que valurent les Canadiens, si malheureusement abandonnés par elle, continua le père Rondeau d’une voix émue.

— Et Sungush-Ouscta espère, ajouta le sagamo, que son frère n’omettra pas de mentionner, dans sa parole écrite, la vaillance des Nadoessis et leur vieil attachement pour les Français !

— Oui, vive la France ! s’écria Jacot Godailleur en se levant.

— Vive la France ! répétèrent le Canadien et l’Indien d’un ton enthousiaste.

— Mes amis, dit Adrien Dubreuil, profondément touché, j’essaierai de vous satisfaire.


FIN