dans cette historiette. Je suis flattée et contente de ce que vous me contez si joliment de vos impressions à ce sujet, et ravie de voir qu’on ne m’en sait pas mauvais gré aux États-Unis[1] ».
Comme pour excuser cette légère satire, elle donna dans une série de médaillons, les plus belles figures de femmes américaines[2]. D’abord, les premières colonisatrices puritaines, les femmes de ces barons anglais qui baptisaient leur nouvelle patrie Maryland[3] en l’honneur de leur reine Henriette Marie de France. Après ces lointaines aïeules, viennent les héroïnes de la Guerre de l’Indépendance ; les savantes, les poétesses ; Harriett Beecher-Stowe, la libératrice des esclaves ; Margaret Haugherry, la charitable boulangère de la Nou-