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LES DRAMES DE L’AMÉRIQUE DU NORD

Les derniers Iroquois forment l’avant-dernier volume de la première série des Drames de l’Amérique du Nord ; très-prochainement nous publierons le dernier, intitulé Poignet d’Acier.

Cette première collection embrassera donc six volumes. Son apparition a été franchement accueillie par le public, et l’accueil a été des plus honorables pour l’auteur. Commencée il y a dix-huit mois à peine, la publication des Drames de l’Amérique nu Nord en est arrivée à un tirage considérable. Les éditions succèdent aux éditions ; le nom de M. Émile Chevalier devient aussi populaire en France qu’il l’était en Amérique avant son retour. Le mérite de ses œuvres, leur attrait, c’est qu’elles sont écrites de bonne foi, « devant la glace de ses souvenirs, » comme disait dernièrement un éminent critique ; c’est que M. Chevalier instruit en amusant. Il fait la géographie, il fait l’histoire des lointaines contrées dont il parle. Après en avoir été un des plus intrépides explorateurs, il en est un des plus consciencieux ethnographes. On l’a dit, encore : « Ses livres peuvent être considérés dès aujourd’hui comme un Guide sûr pour les touristes dans les vastes déserts de l’Amérique Septentrionale.

Voici les titres des ouvrages de la 2e série :

La Femme Ourse.

Les Pend’Oreilles.

Les Gros Ventres.

Le Serpent.

Indiens du Sang.

Le Sauvage Arctique.

La Vierge Esquimau.

Les éditeurs : L’ÉCRIVAIN et TOUBON.

Imprimé par Charles Noblet, rue Soufflet, 18.