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ici, entrons dans ta chambre. » Elle me répondit : « Laisse moi tranquille ô fils de la débauchée. Par Dieu ! je perds la raison lorsque je vois ton membre s’allonger ainsi et soulever tes vêtements. Ô le beau membre ! Je n’en ai jamais vu de plus beau ! Fais-le pénétrer dans cette vulve délicieuse, potelée, qui rend amoureux et soucieux tout homme qui entend faire la description, pour laquelle tant d’hommes sont morts d’amour et dont tes maîtres et seigneurs, même, n’ont pu obtenir la possession. »

Je lui dis ensuite : « Je ne consentirai pas à le faire ailleurs que dans ta chambre. » Elle me répondit : « Si tu n’entres à l’instant dans cette vulve potelée, je vais mourir ! » Comme j’insistais encore pour qu’elle se rendît dans sa chambre, elle s’écria : « Non ! c’est de toute impossibilité, je ne pourrais patienter jusqu’à ce moment là ! »

Je voyais, en effet, ses lèvres trembler ses yeux devenir humides. Un tremblement général la saisit, et, son visage changeant de couleur, elle se coucha sur le dos, en découvrant ses cuisses dont la blancheur éclatante faisait ressembler sa chair à du cristal teinté d’incarnat.

J’examinai alors sa vulve, formant une blanche coupole dont le centre était pourpre ; elle était douce et charmante. Je la voyais s’ouvrir, comme celle de la jument en chaleur à l’approche de l’étalon.

Elle saisit à ce moment mon membre et se mit à l’embrasser en disant : « Par la religion de mon père ! il faut qu’il pénètre dans ma vulve ! » Puis, s’approchant de moi, elle l’attirait vers son vagin.

Lorsque je la vis en cet état, je