ses fesses, le meilleur moyen à employer est de la coucher sur le dos et de relever ses cuisses sur son ventre ; l’homme se place entre celles-ci, les jarrets pliés[nde 1], les pointes des pieds à terre, il saisit de ses mains la taille de la femme pour l’attirer à lui, et, s’il ne peut y atteindre par suite de l’obésité de son ventre et de ses cuisses, il doit lui embrasser le derrière avec ses deux bras, ou lui saisir les mains. Mais il lui est impossible de s’accoler convenablement à elle, par suite du peu de mobilité de l’articulation de ses cuisses qui se trouvent gênées par son ventre. Il pourra pourtant, à la rigueur, les saisir avec ses deux mains, mais il se gardera bien de les déranger de leur position pour les placer sur les siennes, car, à cause de leur pesanteur, il n’aurait plus ni force, ni facilité pour le mouvement. Comme a dit le poète :
« Si tu as affaire à elle, relève-lui les fesses
« Pour coïter à la manière de la corde qu’on tend à celui qui se noie
« Tu paraîtras alors entre ses cuisses,
« Comme le rameur placé à l’extrémité du navire. »
L’homme peut encore, s’il le préfère, coucher la femme
sur un de ses côtés en lui faisant avancer la jambe de
dessous, puis s’asseoir sur la cuisse de cette jambe, son
membre vis à vis de la vulve, et soulever la jambe de dessus,
que la femme doit ployer à l’articulation du genou ;
il saisit alors, avec les mains, les jambes et les cuisses de la
femme et il lui introduit son membre, ayant son corps
entre les jambes, les jarrets pliés[nde 1] et posant à terre les
pointes de ses pieds, afin d’élever son derrière, pour que les
cuisses de la femme ne l’entravent pas dans son mouvement.
C’est dans cette position qu’ils peuvent entrer en
action.
Si c’est par suite de grossesse que la