Page:Cheikh Nefzaoui - La Prairie Parfumée.djvu/139

Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 101 —

de la femme, dont les jambes se trouvent ainsi sous ses bras ou bien même ont été, s’il le préfère, placées par lui sur ses épaules ; enfin il l’embrasse par la taille, ou la saisit par les bras.

Séparateur

Les descriptions qui précèdent fournissent un plus grand nombre de manières qu’il n’est possible d’en mettre en usage ; mais il résulte de ce grand choix que celui qui éprouverait quelques difficultés dans l’application de quelques-unes d’entre elles, ce qui lui ôterait tout plaisir à s’en servir, pourra en trouver dans le nombre d’autres plus à sa convenance.

Je n’ai pas cru devoir mentionner les positions qui m’ont paru impossibles à réaliser et, s’il se rencontrait quelqu’un qui trouvât que celles que j’ai décrites sont insuffisantes, il n’aurait qu’à en chercher de nouvelles.

Il est incontestable que les Indiens ont surmonté les plus grandes difficultés en ce qui concerne le coït et, en fait de tour de force venant d’eux, on peut citer la position suivante :

La femme étant couchée sur le dos, l’homme s’assied sur sa poitrine, le dos tourné à sa figure, les genoux en avant et les orteils pinçant la terre ; il lui lève alors les cuisses en lui cambrant le dos, de manière à amener sa vulve vis-à-vis de son membre. Il introduit ce dernier et c’était le but à atteindre.

Cette position, comme tu le vois, doit causer une grande fatigue et être d’une exécution difficile. Je pense même qu’elle n’est guère réalisable qu’en paroles