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de l’homme, et inversement pour la cuisse droite de celui-ci, qui doit être posée sur la cuisse gauche de la femme.
La femme introduit alors le membre dans son vagin, en saisissant avec ses mains les bras de l’homme ; chacun des deux se penche à son tour un peu en arrière, et, se tenant mutuellement par le haut des bras, ils se donnent ainsi un mouvement de balancement, en observant d’agir par petites secousses[1] et de mettre le plus grand accord dans leurs mouvements, qu’ils dirigent au moyen de leurs talons reposant à terre.
27e Manière dite El Khouariki (Celui qui reste dans la maison). — La femme étant couchée sur le dos, l’homme s’étend sur son ventre, ayant des coussins sous les mains.
- ↑ (76) L’auteur se sert du mot Nitah dont la racine est Netah et qui a fait l’objet de la note 5.
