Page:Cheikh Nefzaoui - La Prairie Parfumée.djvu/122

Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 86 —

embrasser l’homme, il lui suffit d’allonger les bras sur le lit.

illustration manquante
illustration manquante

7e Manière dite Ez Zedjadja (Le percement de la lance)[1]. — Tu suspends la femme au plafond au moyen d’un système de quatre cordons qui s’attachent à ses pieds et à ses mains ; le milieu de son corps est soutenu par un cinquième cordon disposé de façon à ne pas la blesser au dos. Sa position doit être telle que sa vulve se trouve, toi te tenant debout, à hauteur et vis-à-vis de ton membre, que tu introduis dans son vagin. Tu imprimes alors à l’appareil un mouvement de balancement, en commençant par l’éloigner légèrement de toi, puis en le rapprochant ensuite : tu fais ainsi alternativement entrer et sortir ton membre, en ayant soin de le darder sur l’entrée de la vulve,

  1. (68) Le mot Ez Zedjadja vient de la racine Zedj, qui signifie frapper, percer avec le Zoudj, c’est-à-dire avec le fer de la lance.