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une estrade peu élevée, ses pieds reposant à terre et son derrière se trouvant en saillie sur l’estrade. Elle présentera ainsi sa vulve à ton membre, que tu y introduiras[nde 1].

10e Manière. ― Tu placeras la femme près d’un divan peu élevé, dont elle saisira le bois avec les mains ; puis, arrivant par-dessous elle, tu lui lèveras les jambes jusqu’à hauteur de ton corps, en lui recommandant de te serrer avec ses jambes placées de chaque côté de ton corps. Tu introduiras ta verge dans cette position, en saisissant toi-même le bois du divan. Lorsque tu te mettras à agir, chacun de tes mouvements devra répondre en cadence au mouvement de la femme.

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  1. (b) Note de l’éditeur. ― Il y a lieu de remarquer que, dans toutes ces descriptions, la couche où se rencontrent l’homme et la femme n’est autre qu’un lit arabe, généralement formé de tapis superposés, ou recouvrant un matelas, qui reposent sur le sol. Un pareil lit n’a qu’une faible élévation, ce qui explique pourquoi l’auteur est obligé d’avoir recours à une estrade quand l’opération nécessite un appui ayant de l’analogie, comme hauteur, avec nos lits.