ces de cette partie, ſans avertir, ni que les poſſeſſeurs d’éffets ſemblables que j’ai nommé, ne ſont pas les ſeuls qu’on trouve dans l’Hiſtoire, ni que toutes les ruines d’anciens chateaux des dehors de Tivoli, ne ſe réduiſent à celles dont j’ai eu occaſion de parler. Un texte mis ſous les yeux par exemple a montré un Tiburtinum parmi les Campagnes de Pline-le-jeune. Mais comme c’eſt le ſeul mot que nous en avons, je n’ai pu faire à ſon ſujèt aucun diſcours. J’ai du encore moins parler de celui qui eſt suppoſé dans un texte d’Horace qui peint un Sénateur avare, en équipage fort plaiſant dans la Voïe Tiburtine, ſe rendant ſans doute à son Tiburtinum[1] ; parceque ce texte nous dit à peine un des noms du perſonnage. Et ces Chateaux & d’autres furent placés ſans doute à quelqu’une des nombreuſes ruines qu’on voit outre celles dont j’ai fait mention. On en rencontre dés la plaine dans la voïe Tiburtine ; le chemin de Monticelli en offre pluſieurs fort magnifìques, & ce-
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Objiciet ſordes nemo mihi quas tibi, Tulli
Cum Tiburte via Prætorem quinque sequintur
Te pueri Laſanum portantes Oenophorumque
Hor. lib. I. Sat. 3.