logie lui attribue, de Lune dans les Cieux, de Diane ſur la Terre, & d’Hécate dans les Enfers ; mais qu’elle y étoit ſinguliérement célébre ſous ce dernier Titre, je veux-dire ſous celui d’Hécate également puiſſante dans les Cieux, & dans l’Érébe[1], Tous ces caractères s’expliqueroient admirablement par un Temple de Diane dont l’Arc auroit été la ſubſtruction. La forme d’Arc de cette Antiquité ne lui vient évidemment que de la voie publique qu’il fallut laiſſer libre. La Divinité du Temple tenoit à la terre par le mont ; mais ſa vraie position étoit dans les airs, & ſur l’Averne. Elle ne pouvoit donc, être mieux placée pour être Trivie en général & Hécate en particulier. La manière dont cette poſition lui faiſoit dominer rééllement l’Averne, repreſentoit le plus naturellement l’Empire que le Poëte lui attribue ſur le Lac reputé l’Erébe[2]. umes d’ailleurs en tant qu’objection contre le caractère que j’établis, demande
Page:Chaupy - Découverte de la maison de campagne d’Horace, Tome 1.djvu/422
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
330
Découv. de la Maison
