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Découv. de la Maison

ron même, qui ſont à Marc ſon Frère, qui dans le corps de la lettre n’y eſt appelé que mon cher Marc, ce nom de Marc enfin ſous lequel Cicéron interloque dans ſes traitez Dialoguez, comme nous l’avons vû plus haut de celui des Loix, tout cella dis-je nous aprit des nos plus jeunes ans qu’on nous mît Cicéron entre les mains, que le Marc & le Quintus connus, ſont le deux Frères Cicéron. Les Affranchis de l’Inſcription, dont deux le ſont de Quintus & deux autres de Marc ſont donc notoirement des Affranchis de ces deux Frères renommés. Si l’Inſcription étoit une pièce déplacée ou isolée, on pourroit faire contre elle une difficulté tirée de l’uſage, ſelon lequel les Affranchis n’avoient que leur nom de Guerre d’Eſclaves, auquel ils ajoutoient lors de leur affranchiſſement celui de leur Maître, comme on en voit des exemples dans deux Affranchis de Cicéron même ; le premier en M. Tullius Laurea dont nous parlerons plus bas d’après Pline, Voiez la lettre ad Fam. lib. XVI. ep. 18.et le ſecond dans le fameux Tiron, qu’on infère d’une lettre de Cicéron en avoir reçu ſes noms de M. Tullius avec la liberté. D’après cet usage, pourroit-on dire, on ne devroit pas voir le nom de Giſvitius dans