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Chaulieu - La Fare - Poésies, 1803.djvu/322
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Couplets faits à un souper chez madame de La Sabliére
,
81
Chanson sur l’air des flon flon
,
82
À J. B. Rousseau, pour lui apprendre le temps de mon retour, qu’il n’avoit pu deviner
,
83
Au même, sur la direction que M. de Chamillart lui avoit donnée dans les finances
, en 1707,
86
À madame la comtesse de Stafford
,
88
À la même, pour la prier de me venir voir pendant ma goutte
, en 1704,
91
Au comte d’Haroilton, qui nous avoit mêlés, M. de La Fare et moi, dans une lettre sous les noms de deux gentilshommes de campagne gascons
,
93
Au duc de Vendôme, sur la charge de général des galères que le roi lui donna
en 1694,
96
Épithalame sur le mariage du duc de Vendôme avec mademoiselle d’Enghien
, en 1710,
104
Au marquis de La Fare, qui m’avoit demandé mon portrait
, en 1708,
101
Apologie de l’inconstance
, en 1700. Ode,
112
La vieillesse d’un philosophe épicurien
, en 1703. Ode,
115
À madame la duchesse du Maine, dans le temps que les dames de la cour prirent des coiffures et des espèces d’habits à l’espagnole,
en 1702,
120
À la même, à Saint-Maur
,
123
Au nom de monsieur le duc, à madame la duchesse du Maine, de Saim-Maur
, le 27 mai 1702,
126
À madame la marquise de Lassay, qui m’avoit demandé des vers
, en 1702,
136