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tous ces événemens vrais ou faux à la mort de Néron, comme si les souverains étoient exempts de payer le tribut ainsi que les autres hommes, sans que leur mort soit marquée par quelque révolution de la nature. Néron, le fléau du genre humain, le prince le plus cruel qui ait existé, ne méritoit guere de revivre que dans l’esprit de ceux qui lui ressembloient ; & l’horreur que ses crimes & ses débauches inspiroient à si juste titre, auroient dû le condamner à un éternel oubli.