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B A L T dans les vases d’or et @argent que son père avait enlevés du temple de Jérusalem, vit une main qui traçait sur la muraille dela salle ces trois mots : Mamš, TI›.¿ccl, P/mrez. Daniel, appelepotii’expliquer pour expliquer ces énigmes, dit au prince qu’ils signifiaient : a.Vai compté, j”ai pesé, j’ai divisé. C’est-à-dire que ses jours étaient accomplis ; que ses actions venaient d’être pesées ; et que son royaume serait divisé, et deviendrait la proie des Mèdes et des Perses. La nuit mime de cette apparition, le Seigneur, suivant a prédiction de Jérémie, 4 ayant mis å sec la mer de Babylone lune -n, les’Perses pénétrèrent sans obstacle jusque dans le cœur de la ville, forcèrent le palais, et tuèrent, ainsi que toute. sa Cour, Balthasar enseveli dans le sommeil..Lo corps ele ce prince demeure confondu avec tous les autres ; et il ne se trouva personne en état de lui donner la sépulture, ainsi que Pavait prédit Issie. Darius-le-Mède fut mis sur le trône de Balthasar, l’an 558 avant J.-C. BALTHASAR (Cnatsmrns), né à Villeneuve-le-Roi, en 1588, est auteur d’u-n Traité des *usurpa tians du roi d’E.spa qm*› sur ia, .couronne de France -depuis Charles VIII, Paris, 1626, in-8o, avec un Discours des droits et prétentions des rois de France sur fompire, Paris, 1655, in-8o. Balthasar était avocat du roi Auxerre ; il embrassa.le fe protestantisme à l’âge de 60 vans, et.mou›1’ut à’ Castres, vers 1670. -~ BÁl’.’l’lÀ3ÀB’(Christophe), fils du précédent, ’avocat du roi eu prósidisl d’Auxerre, au 17e siècle. Nous -anions de lui le P4mlgyrigued¢Fouquet, en latin ; du Traités sur le «trait de l Q il i × - B A L T 5 rlguse, forigùu des fiefi, fm*dre judiciaire. BALTHASAI(Aucuns ni), jurisconsulte, .né en 1701, it Greilswald, mortà Wismar, en 1779, a’laissé, outre un grand nombre de dissertations, les ouvrages vrages suivons :, I. Apparatus dipíomatico-historiens, ou Tu, - de tautzä les lois qui servent à ffnlstoire de la Pamérmnie. et de fille de Ilugen, ’et c., Greifswald. 1750-55, in-fol. Il. Trsbùau Isieáoflîque des *Mbunmue du duché de tu, Poméfœ his suédoise, ibid., 1755-’57, 2 vohimlbl. III. De arí ine, uw* tu ac conditionne wminum propriorum in Plmwraniâ, ibid., 1755-49. IV. Discours sur les avantages du. temps présent sous le rapport du perfectionnement des sciences, 1749, in-4o. -V. Jus ecclesíasticum morale, raie, ibid.,1760-65, ›2 vol.in-foi : BALTHASAR (Jacques-Hunt. un), surintendant général des églises de la Poméranie suédoise, professeur de théologie, a composé plusieurs ouvrages théologiques et les deux traités historiques ques suivons : I. Recueil de [hits relatifs à l’IListoire ecclésiastique de Pom¿1’anùt, Greifswald, 1725-e5, in- !|°. Il. Val ab Eichstœdt vpitome mmatíum Paineramùv, ibid., 1726, in-[ ;°. -BALTHASAR (J0811’fl*ÂN-1011111-F1å1,1x ne), membre du conseil souverain de Luoérneyoù il était né en.1.77›7 ; a publie :*I. La défense de -Guillaume, Tell, in-8o~, 1760 ; II. De jure Helvetiorum cis-cd sacra, Zurich, 1768, traduit en français, par M. Viend, sous ce titre : Les Libertés de i’Église lvelvótique, Lausanne, 177<›. Cet écrit tint condamné àlîome. Ili. I ; n upus-