Page:Chaudon, Delandine, Goigoux - Dictionnaire historique, tome 27.djvu/424

Cette page n’a pas encore été corrigée

420 ZORO ZOSI

in-1a› On attribue encore à Zoroastre l’IzescImc, ouvrage composé posé de QQ hascu chapitres. Le nom. dïzcschnc signifie prière sur la grandeur-de lÊtre-Suprême. p P — M. Pastoret a publié en 1786, in-8°, a° édition, 1787, un o uvrageintituléZoroastre, Confucius et Mahomet, comparés comme sectaires, législateurs et moralistes, listes, avec’le tableau de leurs dogmes de leurs lois et de leur morale. Cet ouvrage est écrit avec autant de clarté que d’érudition.

ZOROBABEL, de la famille -des rois de Jude, fils ou petit-fils de Salathiel, joua un rôle à Baby ou ses frères étaient en captivité. Cyrus, pénétré d’estime pour Zorobabell ; lui remit les vases sacrés du temple, qu’il renvoyait voyait àJérusalem, et ce vertueux Israélite fut lo chef des Juifs qui retournèrent en leur pays. Quand ils furent arrivés, Zorobabel commença tnença à jeter les fondemens du mais les Samaritains firent tant par leurs intrigues auprès des ministres de la cour de Perse, qu’ils vinrent àbout d’inter1*ompre l’ouvrage. Le zèle des juifs s’étant ralenti, ils furent punis de leur p indifférence par plusieurs fléaux dont Dieu les frappa. La seconde année du règne de Darius, fils d’Hystaspes, il leur envoya les prophètes Aggée et Zacharie, pour leur reprocher le mépris qu’ils faisaient de son culte, et leur négligence àbâtir son temple. Zorobabel et tout le peuple reprirent avec une ardeur incroyable ne travail interrompu depuis 14 ans. Zor babel présidait à l’ouvrage ; qiïi fut achevé l’an 515 avant J.-C. La dédicace de ce temple se lit solennellement 4 w 1 i ZOSI ZOSIME, chimiste de Panapolis lis en Égypte, vivait vers la tin du troisième siècle. Il a laissé quelques manuscrits en grec › voici leurs titres en français Q 1. Sur la composition des eaux. II.~Sur la vertu des interprétations. I II. Sur fan sacré et divin. IV. Sur les insu-unum et les fourneaux. ZobIM Ev(saint), pape, grec de naissance, monta s11r la chaire de saint Pierre après Innocent l, le 18 mars 417. Célestius, disciple de Pélages, lui en imposa d’abord ; mais dans la suite, ce pape ayant été détrompé par les évêques d’Afrique, il confirma le jugement rendu par son prédécesseur contre cet hérétique, j et contre Pélalfe son maître. li obtint de l’empereur un rescrit pour chasser es pélagiens de Rome. (Voyez ce tnot.) Zosimc Il décida le différend qui était entre les églises 1l’Arles et métropole sur les provinces Viennaise naise et Narbonnaise, et se déclara en faveur de Patrocle, évêque d’Arles. Ce pontife également lement savant et zélé, mourut le 26 décembre 418. On a de lui seize épîtres, écrites avec chaleur et avec force. Elles se trouvent dans le recueil des Epistoíw Romanorum pontíficum, de dom Constant. in-fol. Z0 SIM E, historien grec, comte et avocat du fisc, vivait au cinquième siècle, et on rt’-1 que des conjectures ti donner sur l’époque précise de sa vie, et sur le lieu de sa naissance. Il a écrit en grec une histoire des empereurs romains, divisée en six livres ; il nous en reste cinq et le commencement du sixième ; È D F i i È I i i ã 1 temple, l’an 555 avant J.-C. ; 1 de Vienne, touchant le droit de

la même année.

son premier livre comprend, avec