! MASS cules de Plutarque. On a encore de lui :De origine et rebus Faliscorum, où, en traitant des guerres que ces peuples soutinrent rent contre les Rotuains, il parle, d’après les anciens historiens les plus accrédités, des premiers habitans de ces contrées. ’MASSA (Jim-Annuå), né dans le lllodéuois, passa en Sicile dans son enfance, s’y fit jésuite, et y mourut le 30 décembre 1708. On a de lui : I. La¿ Sicilia in prospective, P alerme, 11709, 2 vol. in-Qt ll. lsugnge ad Historia-m sacram Siculam P. Octavii Cajetfmi S. J., Pauormi, 1707, in-12 Le P. Massa fut l’éditeur de cet ouvrage. MASSAC, (Raimond de), médécin d’Orléans, du 16e siècle, s'occupait autant des belles-lettres que de sa profession. On a de lui Paean Aurelianus, c'est un poème condisérable. inséré dans le Recueuil des Poèmes et Panégyriques de la ville d’Orléans, 1646, in-4o. I y célèbre l'heureuse température du climat d'Orléans, et fait éloge du collège de médécine et des médécins qui s'y sont distingués pour leur science et leurs talens. II. Pugae, sive de lymphis pugaecis libri duo, cum notis J. Levasseur, Paris, 1599. C'est un poème sur la fontaine minérale de Pougnes, à deux sieues de Nevera. – Charles de Massac, fils de l'auteur, l’a traduit en vers français, Paris, 1605. in-8o. 1uAss.1c (Jim-Bnrxsq). habile peintre en miniature, né à Paris, en 1687, et mort en septembre u1bre 1ÿ67. La collection des estampes de la grande galerie et des appartements de Versailles a été faite sur la copie des originaux de Lebrun, par Masszic, 18. MASS 241 et gravée sous sa direction par les plus habiles graveurs de ce temps. “ MASSAC (PIERRE-LOUIS-nAl¢ Holll)~DBv), agronmne, ne at Hunet près de Touneius, dans l’¿ägénois, le 25 août 1728, mort vers.1’ ; y9, suivit quelque temps profession d’avocat., et 11 laissé quelques ouvrages d’économie et de jurisprudence estimés. Ce sont : I. Recueil d’inÎs truc lion.v et d’amusemens littéraires, Amsterdam (Paris), 1765, in- 12. lll. M ¿m-oíresur la maníèrede gouverner tu abeilles, 1766, in-in. III. Autre sur la qualité et Uemplaides engrais. 1 767, in- 1.a. L’auteur publia une seconde édition de ces deux Mémoires sous le titre de Revuril d’in.strictions économiques, 1779, iin›8’. lV. Discotlrs et Mémoires relatifs Paris, 1755, in-12. -’Son frère, Rîtlfllÿlld M1ssAc, receveur des rentes 21 Paris. publia le Mémoirede son frère sur la qualité et l’emploi des engrais. Il est également auteur d’un Manuel de rentes, P.11is, 1717, lll- 12. l)’un Traité des immatriculas. 1779, in-ti". MASSAEIUS (C1ui1’r1z1|), , surnommé Ca rrwracenus, à cause du long séjour qu’il fit à Caiubrai, brai, né à Warneton en ltÎ69, entra dans la congrégation des clercs de la vie commune, enseigna les humanités à Gand, de là se rendit à Cambrai, où il exerça le même emploi depuis 1509, jusqu’à sa mort, qui arriva en 15.211 Nous avons de l11i : l. Une Grurrtmiiÿre latine. Anvers, 1556, in-ji Despautère prétendait que Massœus avait pillš dans sa Gra›nma1icc, et le trait » fort durement. Massœu* lui rèpontlit pondit solidement ¿ mais grec au1 C
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