Misitra est à deux lieues de l’Eurotas, ce qui trancheroit la question, si cela pouvoit en faire une. Les ruines de Sparte sont à Magoula, tout auprès du fleuve ; d’Anville les a très-bien désignées sous le nom de Palæochori, ou la vieille ville. Elles sont fort reconnoissables, et occupent une grande étendue de terrain. Ce qu’il y a d’incroyable, c’est que La Guilletière parle de Magoula sans se douter qu’il parle de Sparte.
Dès le soir même Cyrille commença les instructions, etc.
Ce livre a peut-être quelque chose de grave qui contraste avec la description plus brillante d’Athènes, et qui rappelle naturellement au lecteur la sévère Lacédémone. Il m’a semblé qu’on verroit avec quelque plaisir le christianisme naissant à Sparte et la foi de Jésus-Christ remplaçant les lois de Lycurgue.
Que peux-tu contre la croix ?
On voit par ce mot que ce démon solitaire n’avoit point assisté à la délibération de l’enfer.
Aux deux degrés d’auditrice et de postulante.
Pour les différents degrés de catéchumènes, et pour les différents ordres du clergé, des veuves, des diaconesses, etc., voyez Fleury, Mœurs des chrétiens.
C’est la fille de Tyndare, couronnée des fleurs du Plataniste, etc.
Île et prairie où les filles de Sparte cueillirent les fleurs dont elles formèrent la couronne nuptiale d’Hélène. (Voyez Théocrite.)
Près du Lesché et non loin des tombeaux des rois Agides.
« Dans le quartier de la ville appelé le Théomélide on trouve les tombeaux des rois Agides. Le Lesché touche à ces tombeaux, et les Crotanes s’assemblent au Lesché. » (Pausan., lib. iii, cap. xiv.) Les Crotanes formoient une des cohortes de l’infanterie lacédémonienne.