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empire si mol et effeminé : (…). Tiercement elle degenere bientost à son contraire, qui est la douleur, le desplaisir, le repentir : comme les rivieres d’eaue douce courent et vont mourir en la mer salée, ainsi le miel des voluptez se termine en fiel de douleurs : (…). Finalement c’est le seminaire de tous maux, de toute ruine : (…). D’elle viennent les propos et intelligences secrettes et clandestines, puis les trahisons, enfin les eversions et ruines des republiques. Maintenant nous parlerons des voluptez en particulier.