Page:Charron - De la sagesse, trois livres, tome II, 1827.djvu/136

Cette page n’a pas encore été corrigée

d’une commune et simple, comme nous croyons une histoire, et nous tenons à nos amys et compagnons, nous les mettrions de beaucoup au-dessus de toute autre chose pour l’infinie bonté qui reluist en eux ; pour le moins seroient-ils en mesme rang que l’honneur, les richesses, les amys. Or y en a-il bien peu qui ne craignent moins de faire contre Dieu et quelque poinct de sa religion, que contre son parent, son maistre, son amy, ses moyens.