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ADDITIONS

AUX NOTES QUI INDIQUENT LES SOURCES DES PASSAGES

CITÉS PAR CHARRON.

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Page 2, note 2. Vivere est cogitare. — Cette maxime est prise dans Cic. Tusculan. Quest. L. V, n°. III.

Page 6, note 6. — Au lieu de Juvénal, lisez Perse, sat. IV, v. 23.

Page 7. — La première partie du passage cité, est de Sénèque, epist. XXVIII.

Page 8. — Homo enim quum sis, etc. Ce passage est de Philémon, cité par Stobée ; serm. 21 : de cognoscendo se ipsum.

Page 8, après ces mots : autant es tu Dieu comme tu te recognois homme, ajoutez eu note : Plutarque, Vie de Pompée, chap. VII.

Page 9. Plus alii de te. — Cette maxime est tirée du XIVe. dist. de Caton.

Page 14. — Ce vers, exemplumque Dei, etc., est de Manilius, Astronomicon. L. IV, v. 895.

Page 15. Propter nos homines etc. — Ces paroles se trouvent dans le Credo.

Page 16. Sanctius his animal etc. — Ce vers est pris d’Ovide, Métamorph. L. I, fab. II, v. 76.

Page 17. Mixtam fluvialibus undis, etc. — Ce sont aussi des vers d’Ovide, Métamorph. L-1, fab. II, v. 82.

Page 17. Sol et homo generant hominem. — Aristote, Natur. Auscult. L. II, chap. II, in fine.

Page 20. Nec tecum, nec sine te. — Martial, L. XII, epigr. 47.

Page 61. Sicut equus et mulus. — Psaum. XXXI, V. II.

Page 72. Insita sunt nobis, etc. — Sénèque, de Benef. L. IV, chap. VI, in fine.

Page 78. Non nubent, etc, — Saint Mathieu, chap. XXII, v. 30.