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LETTRE XI.
constance à l’abbé de la tour.
La Comtesse se distrait, se console,
prend soin de sa taille et de ses cheveux,
et croit n’avoir point d’enfant.
Josephine a deux enfans, qu’elle soigne
et nourrit avec une tendresse
égale.
C’est tout de bon que Madame d’Altendorf les adopte. Dès que Josephine cessera d’être leur nourrice, Madame Hotz sera leur Bonne. Émilie, dit Madame d’Altendorf, aura, j’espère, ses propres enfans à élever, et ne devra pas être contrariée, comme il arrive trop souvent, par la foiblesse d’une grand-mere. Il est bon, par conséquent,