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comme Mademoiselle de Rhedon l’avoit dit, aimoit dans Mademoiselle de Kerber une vivacité d’esprit, qui n’empêchoit pas qu’elle n’eût le cœur fort bon ; elle venoit de donner des preuves de cette bonté hardie et zèlée, qui furent racontées à Ville-Dieu par Tonquedec, Ste. Anne et Mademoiselle de Rhedon elle-même. Là-dessus il a pris son parti, s’est offert et a été franchement accepté ; le mariage se fera bientôt. Ce n’est pas tout. L’homme dont Mademoiselle de Kerber avoit parlé avec assez de dédain, lorsque Madame de Rieux oublia tout-à coup pour lui l’héroïque veuve de son roman, a reçu du relief de son procédé vis-à-vis de la fille de son créancier, et Madame de Rieux s’en prévaut pour justifier sa coquetterie, qui