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il se laissa tomber. Ton maître se trouve mal, dit Franc à Herfrey qui entroit. C’est la fatigue du voyage, dit celui-ci, et il courut chercher ce qu’il crut le plus propre à l’état de son maître, auprès duquel il laissa Franc. L’évanouissement ne fut pas long ; mais la situation où se trouva Ste. Anne, quand il revint à lui, fut affreuse. Cependant il falloit se surmonter, il falloit se montrer un homme ; mais Ste. Anne crut qu’il pouvoit se donner quelques heures pour prendre l’air et le ton qu’il sentoit devoir prendre, et pria Franc de dire à son maître, qu’il ne le verroit que le lendemain. Je l’entends qui revient de la promenade avec Mademoiselle de Rhedon, dit Franc ; il sera bien fâché que vous ne lui permettiez pas de vous