Dit Para ôûay. Liv. X, 3 j
céîébroit en même ^ems la première an- j^., née féculaire de la Compagnie, il ne parla ,. pendant plus d'une heure & demie , que des grands biens que cette Compagnie jfai- foit dans les quatre parties du Monde » parmi les Catholiques, les Hérétiques &r tes Infidèles.
On fut pourtant bientôt inftrUit dans le- Public des démarches & des repréfenta- irons dtr Rêveur au fujet de ces éloges &des trois Jéfuites que TEvêque avoit tirés= de leurs Miflîons, Elles allèrent même juf- qu'aux oreilles de TEvéque du Tucuman , qui en écrivit à Dom Bernardin. Sa Lettre" tranfpira dans le Public , & comme le' Prélat y relevoit beaucoup la modeftie du> Père Laurent Sobiino"^, qui étok le Relieur Aw Collège de KAfTomption & qu'il con^ noiiToit particulièrement , & que peu de* rems après le Père Manfilla eut permillîon de retourner aux Itatines , ptefque tous ceux qui s'étoietft prévenus contre les Jé- fuites , leur rendirent Jufticc. D'ailleurs les^ nouvelles brouillfcries , qui fûrvinrent bien- tôt entre TEvêque & le Gouverneur , occu- pèrent toute Tattcntion du Public.
Dom Grégorio" ne pouvoir digérer Tin-' te cTotiir»^
faite que- lui: avoir faite le Père de Carde- veneur & l'É^
nas, & dont ni ce Religieux ni fon Oncle q«e^ebrouit-
? . . r- ^ f ' . lent plus qi»-
flc lui avOicnt tait aucune réparation :mai^ iamaïs'.
n croioit devoir encore le ménager avec Dom Bernardin , fur-tout .d'epuisr que ce Prélat s'étott fi' hautemiîrtr fait IcPànégy- rifte des Jéfuites. L'Evêque' de fon côté évitoit de fe compromettre avec un Cou- lEomeor. qui étoit aimé ^ que fon Nèv^i^
