ï>i l'HistoxHi du Paraguay, ^tp dîtes Provinces , fans parler de deux autres J^JT^ aufll peuplées qu'ils ont dans la Province des Itatines. Et quoique lefdi'S Régidr»rs jç^pr^.^'/^J & Alcaldcs aient encouru , oar ces faux me^me. rappons ,> les peines ordonnées contre les Calomniateurs , tels qu'ils font en effet , aïant publié des décrets , des informations, & d'autres aé^es remplis de fauffecés, 8c qu*ain(î , félon la rigueur des Loix , ils dufTcnt être punis en leurs biens & en leurs perfonnes, tant pour leur propre amende- ment, que pour fervir d'exemple aux au- tres i néanmoins aïant égard à la fatis fac- tion qu'ils ont faite en' public & juridî- qaement aux Pères de la Compagnie , par des écrits qu* ils ont flipulés , & des requê- tes qu'ils ont préfenrées , où ils rétradenc leurldites déclarations , marquant par quel motif & à la perfuafîon de qui elles avoienc été fabriquées , & la conduite que Ton avoit tenue dans toutes ces procédures; ainfi qu il parole par la déclaration de Dom Gabriel deCucUar & Mofquera, donnée en la Ville de Cordoue , dans la Province de Tucuman , le huitième jour de Novembre mil fix cent cinquante & un , qui commen- ce au feuillet cent vingt-&-un , avec une nouvelle approbation de ratification du mi- me , folio cent dix- huit ; par celle du Ca- pitaine Chrlftophe Ramirez Fuen Leal , faite à l'article de la mort , dans cette Ville, Je treize de Mai mil fix cent cinquante dc un , dans laquelle , pour décharger fa con& cience , il demande pardon auxdits Pères , & leur fait une réparation publique , ainfî ^u'il y eft plus au long, folio dçux cent dix-
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